samedi 31 mai 2008

Faire bonne impression

Depuis l'existence de mon blogue, j'ai négligé un aspect visuel très important que je corrige aussitôt aujourd'hui, soit l'impression! Si vous voulez imprimer un article de mon blogue, cliquez d'abord sur son titre pour afficher la page individuelle. À partir de maintenant, chaque article sera doté d'une option "imprimer cet article". Repérez cette option à la fin de chacun des articles juste à côté de cet icône ( ) . Sur papier, le texte et les images prendront tout l'espace de la page, sans les barres latérales et la section d'en-tête. Ce sera ainsi plus facile à lire, et surtout, cela économisera l'encre et le papier de votre imprimante.

Ah oui, et question de conscience environnementale, pourquoi ne pas imprimer les articles en format PDF, et les enregistrer sur votre ordinateur ?

Bonne impression!

mercredi 28 mai 2008

Jam de percussions ce week-end!

Un jam dirigé de percussions africaines est organisé ce samedi, 31 mai, au bar l'Alizé situé à deux pas du métro Berri-UQAM. Ce jam est dirigé par nul autre que les jumeaux Benjamin et Olivier Landry du groupe Taafé Fanga. Le coût d'entrée est de 12$. Veuillez confirmer votre présence par courriel en cliquant ici.


Agrandir le plan

Le hang, un instrument fascinant

Je suis tombé ce week-end sur un vidéo montrant un percussionniste s'adonner à une improvisation fascinante avec un instrument que je n'avais jamais vu auparavant. En forme d'ovni, tout en métal, le musicien y frappait la coque et selon l'endroit où il frappait, il sortait de l'instrument des notes très belles, très mélodieuses. C'est ainsi que j'ai fait la connaissance du hang, tout nouvel instrument qui réinvente à nouveau le domaine des percussions.

Avant d'aller plus loin, voici une image de quelques hanghang (hang au pluriel).

L'instrument a été conçu en 2000 par deux musiciens suisses, Félix Rohner et Sabina Schärer, à Berne. Le mot « hang », en bernois, signifie « main », d'où l'appellation de l'instrument qui se joue avec les mains. Le hang est le fruit de 25 années de recherche en accoustique et en métallurgie. Ce qui est très étonnant en regardant un hang, c'est sa simplicité. Deux dômes de métal en acier juxtaposés forment la caisse de résonance. L'instrument comporte 9 notes, chacune étant générée très précisément par les huit renflements circulaires situés sur le pourtour de la paroi et par la protubérance au sommet (qui correspond à la note la plus grave). Le demi-dôme qui contient toutes ces notes correspond au côté Ding de l'instrument, alors qu'en dessous, l'autre dôme comporte un trou central qui fait penser à un udu. On appelle ce côté le Gu. Plusieurs types de hang existent, chacun ayant été précalibré selon une gamme de notes précises.

Le hang se joue idéalement assis, l'instrument reposant sur les cuisses et les genoux, à l'horizontale. Il suffit pour le musicien de taper la paroi aux endroits appropriés pour générer les notes. En frappant dans les zones jouxtant les renflements, le son correspond à la note parfaite. Plus on s'éloigne de ces zones, plus les harmoniques seront persistantes, si bien que plusieurs types de sons peuvent être générés avec l'instrument. En utilisant une technique de frappe s'apparentant au darbouka et au tabla, on peut générer des sons plus secs, plus étouffés, avec moins d'harmoniques que si on frappe librement sur l'instrument. On peut également se servir du côté Gu comportant la grande ouverture pour jouer de la même façon qu'un udu, à défaut de ne pouvoir générer cette fois-ci qu'une seule note avec ses harmoniques.

Malheureusement, le hang ne se vend pas à grande échelle, les créateurs ayant délibérément décidé de se concentrer sur la très grande qualité de leur instrument plutôt que sur une mise en marché plus globale. Il faut donc écrire directement (par la poste ou par fax) auprès d'eux pour s'inscrire à une liste d'attente, et souvent, plusieurs mois sont nécessaires afin de pouvoir mettre la main sur un hang. Le prix est d'environ 1500$ à cause de l'infinie précaution et minutie dans la fabrication du dôme servant à générer les notes. À noter qu'aucun site web officiel ni adresse courriel n'existe sur les créateurs et l'instrument.

Pour vous montrer la très grande beauté de la musique créée avec un hang, voici deux vidéos d'improvisation que j'affectionne particulièrement. Bonne écoute!

Listes de liens pertinents sur le hang

mercredi 21 mai 2008

Jouer du darbouka au Club Soda!

J'ai enfin mis la main sur la copie vidéo de notre fameuse prestation lors du Psyshow 2007 de l'an dernier, spectacle des étudiants du bac en psychologie qui a eu lieu au Club Soda. J'ai accompagné au darbouka mon amie Annie, qui a magnifiquement bien chanté, et mon ami Jérôme, guitariste de talent. Revoir ces images me rappelle de très bons souvenirs! Suivez le lien ci-dessus pour lire le récit de cette superbe soirée!

mardi 20 mai 2008

Le sourire

Il y a de cela plus d'un mois, je suis mandaté pour aller faire une animation de percussions dans une école de la rive nord, avec Gotta, Cheick Anta et Jonathan, un élève de l'école. Magnifique journée de printemps où la neige commence à peine de fondre. Je suis enthousiasmé par cette expérience, parce que notre public est beaucoup plus rafraîchissant et réceptif qu'une bande de vestons cravates BCBG. C'est donc le sourire aux lèvres que nous roulons jusqu'à l'école de l'autre côté de la rivière des Milles-Îles.

Arrivé sur les lieux, je tombe tout de suite sur la directrice qui nous attendait déjà avec impatience. Le premier contact est donc excellent, et nous sommes sitôt conduits au gymnase, lieu où dans quelques instants, une magie certaine va opérer. Bien vite, nous préparons notre matériel, et je discute avec mes comparses de la stratégie à adopter pour que cet après-midi soit mémorable pour les petits bonshommes qui vont venir découvrir la richesse africaine. Notre statégie est simple: basée entièrement sur de l'improvisation, Gotta fera chanter les jeunes, faire un conte, danser les enfants et moi, je prendrai le relais pour les tubes musicaux. Nous devons répéter la séquence deux fois, devant chaque fois 200 jeunes.

L'aspect technique étant maintenant établi, nous attendons l'heure fatidique avec hâte et un bel enthousiasme. La directrice lance soudain son appel à l'interphone, signal que nous devons prendre place pour accueillir le premier groupe d'élèves. Peu de temps après, les premiers groupes font leur entrée, et c'est avec un grand sourire que nous accueillons des enfants hauts comme trois pommes, leur grands yeux fixés sur nous. Nous commençons notre spectacle par un rythme léger, le kuku, et Cheick Anta prend un malin plaisir à aller au micro et à faire chanter les enfants tout en leur indiquant de taper dans les mains. Aussitôt, la magie s'installe, le contact prend forme, et la table est mise pour vivre à nouveau un moment inoubliable.

Gotta, caché derrière d'épais rideaux dans le coin du gymnase, émet aussitôt des cris et agite les bouts de tissu pour manifester sa présence. La réaction est on-ne-peut plus délicieuse dans la salle: un véritable mouvement de surprise se répand, alors que les enfants se lèvent, les yeux grands ouverts, le doigt pointé en direction des rideaux. Gotta fait son entrée, au son du balafon que Cheick Anta joue avec un plaisir manifeste. Un silence teinté de surprise s'installe, et Gotta souhaite la bienvenue aux enfants: «Bienvenue dans notre village d'Afrique».

Les deux heures qui suivirent ont été délicieuses par la spontanéité et l'authenticité dégagées par les enfants dans la salle. Un formidable moment ludique teinté de musique et de sourires que je ne suis pas prêt d'oublier. Surtout lorsqu'à la toute fin de notre prestation, un garçon s'est timidement avancé sur la scène avec une pile de dessins que les enfants avaient pris la peine de créer durant l'après-midi. Les dessins représentaient nous quatre, en train de donner notre spectacle.

Lorsque Gotta l'a pris dans ses bras pour le mettre sur ses épaules, le petit avait un sourire fendu jusqu'aux oreilles. Et plus tard, lorsqu'un des parents responsables des groupes nous a révélé l'importance de ce sourire, ça m'a grandement ému. C'était son premier véritable sourire depuis le début de l'année. Ayant de sérieux troubles de comportements, cet enfant avait, grâce à la magie de la musique, pu se défaire d'un étau considérable. Jamais depuis je n'ai oublié la puissance de ce sourire. Et j'y pense à chaque fois que je joue du tambour maintenant.

jeudi 15 mai 2008

Recette de percussion culinaire

Lors du dernier Gala Artis, il y a eu un fabuleux numéro de percussions mettant en scène des instruments de cuisine. Poêles, fours, bols, assiettes, casseroles, verres, pots d'huile, sachets de nouilles, etc...Tout y était. Et tout cela, orchestré de superbe façon par Luc Boivin, a donné un percutant numéro de cuisine. Si toutes les émissions culinaires étaient comme ça, je vous laisse imaginer la réaction de Ricardo ou Daniel Pinard...

mardi 13 mai 2008

Comment faire des solos de djembé - Leçon 3

Voici un troisième article de Mathieu Charrois puisée de sa méthode pour parfaire des solos au djembé. Cette leçon est consacrée à deux exercices permettant de travailler les triolets, tout en augmentant la souplesse et la vitesse.


Comment faire des solos de djembé. (leçon 3) Voici deux exercices très importants pour vous aider à développer la dextérité nécessaire pour faire des solos. Jouez en boucle. Utilisez un métronome pour marquer le 1 et le 3. (Audio 1) 1+2+ 3+4 + 1 +2+ 3+4 + 1+ 2+3+4+ 1+2 +3+4 + s,,,4s,,,4s,,,4s,,,4s + +s + ++s 4 4 1+2+ 3+4 + 1 +2+ 3+4 + 1+ 2+3+4+ s+ +++s 4 4 1+2 s + +3+4 s s s s s s s s s+s+s s+s+s s+s+s s+s+s+ 4 4 4 4 4 4 4 4 1+2+ 3+4 + 1 +2+ 3+4 + ssss4ssss4ssss4ssss 4 Les triolets sont en bleu. Voici un exercice très efficace pour améliorer votre jeu. Enchaînez les phrases suivantes de haut en bas, puis de bas en haut. Commencez lentement en vous concentrant sur la qualité des sons, et détendez-vous au maximum. Essayez d’augmenter l’amplitude de vos battements de bras. Augmentez graduellement la vitesse. Utilisez un métronome pour marquer le 1 et le 3. Les notes en bleu arrivent sur le temps. Prenez note que cet exercice est en triolets. (Audio 2) 1 + 2+ 3+ 4+ 1 + 2+ 3+ 4+ +ro+ls+rs o+rs+ls o+ls+rs o+rs+ls 4 4l 4r 4l 1 + 2+ 3+ 4+ 1 + 2+ 3+ 4+ 4s+o+s s+o+s s+o+s 4s+o+s 4 4 1 + 2+ 3+ 4+ 1 + 2+ 3+ 4+ 4s+s+o s+s+o s+s+o 4s+s+o 4 4 1 + 2+ 3+ 4+ 1 + 2+ 3+ 4+ 4s+o+o s+o+o s+o+o 4s+o+o 4 4 1 + 2+ 3+ 4+ 1 + 2+ 3+ 4+ 4o+s+o o+s+o o+s+o 4o+s+o 4 4 1 + 2+ 3+ 4+ 1 + 2+ 3+ 4+ 4o+o+s o+o+s o+o+s 4o+o+s 4 4 s o b La claque, le cassé, « slap », le « pa » Le coup ouvert, « open », « tone », le ton, le « pi » La basse, le « pou »

Fichiers audios

lundi 12 mai 2008

De la percussion en français à Saskatoon!

Je reviens tout juste d'un formidable voyage de trois jours en Saskatchewan, où j'ai participé avec quelques autres percusionnistes et danseuses à un événement très intéressant de la région: l'événement Francofièvre.

Cette journée spéciale regroupe plus de 2000 jeunes du secondaire venus des quatres coins de la Saskatchewan, afin de les rassembler et fêter en français pendant toute une journée. Il va sans dire que j'ai été grandement impressionné par l'ampleur de la francophonie dans cette province, où plus de 100 bénévoles et représentants des commissions scolaires se battent jour après jour pour conserver une fierté de parler la langue de Molière dans un endroit où la langue de Shakespeare prévaut.

Nous partons donc à 6h du matin en direction de l'aéroport, djembés et dunduns en guise de bagages. Nous décollons à 8h et en 20 minutes (!?), nous atterrissons à Ottawa, avant de passer quelques 3 heures et demie dans les airs avant d'atterrir à nouveau en terre saskoise. Ce qui me frappe tout de suite en scrutant le sol à travers le hublot de l'avion, c'est l'ampleur des plaines. Aucune dénivellation n'est perceptible. Et ce, à perte de vue. C'est pas mal impressionnant, moi qui n'aie jamais été plus à l'ouest qu'Ottawa.

Dès la sortie de l'aéroport, nous sommes accueillis par Ron, qui sera notre chauffeur attitré pour tout le séjour. Fort sympathique, il nous renseigne sur la ville et sur l'événement auquel nous allons participer. Cela fait drôle de se sentir comme un véritable musicien en tournée, et tout compte fait, c'est exactement ce que je suis!

Une fois installé à l'hôtel, nous en profitons pour se reposer un peu avant de reprendre la route vers le complexe Prairieland, un énorme édifice ressemblant à un grand aréna où ont lieu tous les grands événements et congrès de la ville. C'est presqu'aussi gros que le Centre Bell en superficie, mais en moins haut. En pénétrant dans la grande salle, je suis aussitôt subjugué par l'immense complexe scénique déployé devant moi. Trois scènes disposées en forme de U se font face à face, dont une très haute et très grande où les membres du groupe Swing, le band le plus populaire de Francofièvre, sont en train de pratiquer et de terminer leur test de son. C'est ensuite à notre tour d'apprivoiser la scène et ses caprices sonores. J'ai bien du plaisir à jouer en ayant un micro acroché à mon tambour et en entendant les vibrations sortir de colonnes de sons de plusieurs centaines de milliers de watt. Wow!

Après avoir testé tous les instruments et ajusté tous les micros, nous sommes libres jusqu'au lendemain matin. Nous en profitons pour aller nous balader en ville pour trouver un endroit où aller souper. L'air dehors est très sec et le fond de l'air assez frais. Nous passons de bien agréables moments et nous retournons à l'hôtel repus et épuisés d'une longue, très longue journée. Le réveil-matin sonne quelques heures plus tard, et à peine après avoir engouffré un super déjeuner, nous nous retrouvons dans le camion en route vers le site de Francofièvre.

Il y a déjà des dizaines d'élèves qui sont arrivés pour assister à la première activité de la journée, une joute d'impro en français. Curieuse mais amusante façon de démarrer la journée à 8h30 du matin. Chaque minute qui passe apporte son lot d'étudiants, et bientôt, ils arrivent par dizaines et envahissent l'espace entre les trois scènes, qui se retrouve complètement rempli en un clin d'oeil. Des bands locaux, des DJ et des animateurs se succèdent pour réchauffer la foule, et bientôt, c'est à notre tour de s'exécuter sur scène.

Aux premiers sons des tambours, les élèves se massent près des clôtures le long de la scène, et c'est le sourire aux lèvres qu'ils découvrent la musique africaine. Puis, Iris s'avance au devant et c'est parti pour un super cours de danse africaine. Je suis vraiment impressionné par l'effet de synchronie créé par des centaines de mains, de têtes et de corps qui se baladent dans les airs dans la même direction. Quel superbe énergie! Nous avons vraiment aimé jouer devant tous ces gens, si bien que la demi-heure est passée en coup de vent.

Notre deuxième prestation s'est déroulée au son des bottes et des claquements de mains, alors que nous faisions la démonstration de gumboots (bon, j'étais plutôt en retrait pour ce numéro, laissant le soin aux pros de s'exécuter à ma place...Chacun sa spécialité!). Puis, après le repas, nous avons créer une nouvelle fois une mosaïque de couleurs et de sons avec les fameux tubes, et les jeunes ont vraiment semblé aimer l'effet collectif des notes qui sortaient de toutes parts. C'était galvanisant et rafraîchissant de recevoir autant de belles énergies. Et au son des tubes, Gotta a entamé un reggae à la guitare et cela a mis la table pour la grande finale de la journée, le groupe Franco-Ontarien Swing prenant la relève et mettant le feu dans la foule avec son énergie démentielle. Ce fut une super belle fin de journée.

Le soir, nous avons répété l'expérience devant les centaines de bénévoles qui depuis six mois avaient organisé l'événement. Ce fut un autre moment fort de mon séjour là-bas, surtout lorsqu'un bénévole originaire du Congo est monté sur la scène pour danser au son des tambours, complètement enivré par l'effet puissant des instruments de son pays. Il a senti l'appel de sa terre natale en quelque sorte. Nous avons joué avec coeur et énergie en son honneur, et je fus bien ému de pouvoir assister à ce moment.

La journée et le spectacle terminé, nous avons profité des quelques heures qui restaient pour aller faire un tour au centre-ville de Saskatoon pour festoyer avec les membres de Swing ainsi que quelques autres bénévoles et membres de l'événement. Une superbe fin de soirée qui consistait au point final du lancement de ma saison estivale, saison qui promet d'en être une riche en émotions et en expérience musicale intensive!

Je vous laisse avec deux extraits de reportages de Radio-Canada qui a couvert l'événement.



lundi 5 mai 2008

Le sommet de la montagne

J'y suis arrivé. Je ne sais trop comment. Un pas à la fois j'imagine...Mercredi dernier, à 16h55, après avoir escaladé les quelques 300 marches menant au sommet de la rampe de l'Université de Montréal, complètement exténué, n'ayant dormi que 90 minutes la veille, j'ai déposé, à la fois de manière concrète et symbolique, mon mémoire de maîtrise au bureau de la secrétaire. Tout simplement.

Le geste semblait si anodin pourtant...Depuis deux ans, je ne cessais de m'imaginer comment je serais pour vivre le moment fatidique. Et bien, je peux dire que c'était quasi surréaliste tellement je concevais la chose comme impossible à réaliser voilà un mois à peine. Mot après mot, phrase après phrase, paragraphe après paragraphe, page après page, chapitre après chapitre...Le tout s'est emboîté, et sans trop que je m'en rende compte, après des nuits blanches consécutives et des cafetières qui se vident pour mieux se remplir, j'ai gravi, une par une, les très nombreuses marches de l'escalier qui me mènerait au sommet, qui me libérerait l'esprit d'une très longue période de ma vie qui devait prendre fin.

Plusieurs me demandent comment j'ai pu réussir un tel exploit, de détenir une telle dose de persévérance et de focus. Je l'ignore moi-même. Chose certaine, j'en ressens encore les effets. C'est la raison pour laquelle mon blogue est demeuré silencieux depuis trois semaines. Je m'en excuse d'emblée, mais je ne pouvais tout simplement pas écrire, je devais prendre une pause d'écran cathodique j'imagine. Mais, je suis de retour, plus déterminé que jamais à replonger dans l'univers de la percussion, la tête en paix.

J'en profite pour vous remercier du fond du coeur pour tous les encouragements et les doses incroyables d'énergie que vous m'avez fournies dans les dernières semaines fort éprouvantes. Que ce soit en personne ou par écrit, elles ont été l'ingrédient essentiel qui fait en sorte qu'aujourd'hui, j'ai atteint le sommet de ma montagne. Mille fois merci !!

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