dimanche 24 décembre 2006

Joyeuses Fêtes à tous!


En cette veille de Noël, j'en profite pour vous souhaiter à tous et à toutes un magnifique Noël et une très bonne année 2007. Même si cette année il semble que la neige ne soit pas au rendez-vous, ça ne nous empêche pas de se mettre dnas l'esprit des Fêtes et de se retrouver en famille et entre amis. Pensez à les remercier d'être présents, à leur donner une belle accolade et à les gâter.

De mon côté, je vais prendre congé de mon blogue pour une bonne semaine. Dans 2 jours, je m'envolerai dans le Sud à Cayo Coco pour recharger mes batteries au soleil et dans le sable. J'y serai pour le coup de minuit du 31, et je vous reviendrai en très grande forme dès le 3 janvier, afin de continuer à vous témoigner mes états d'âme et les événements qui se passent dans ma vie et autour de moi.

D'ici là, je vous souhaite de tout coeur que ce Noël 2006 soit mémorable et à la hauteur de vos attentes.

Petite mise à jour

Ouf, je viens de terminer grosso modo la mise à jour de mon blogue vers la nouvelle plate-forme offerte par Google. Cela ne devrait pas changer grand chose pour vous, chers lecteurs, mais pour moi c'est toute la différence au monde dans la facilité avec laquelle je pourrai désormais alimenter mon blogue. De plus la rapidité et les liens vers les billets précédents sont de loin optimisés. J'ai seulement changé le thème de couleurs, et après les Fêtes je changerai la bannière d'en-tête. D'ici là, continuez à venir me lire et à témoigner votre soutien, ça me pousse à vous raconter mes péripéties encore plus ;-)

samedi 23 décembre 2006

Mission accomplie

Il est présentement minuit moins vingt cinq, et je vous écris de chez mon père à Gatineau. C'est dans cette contrée de la vallée outaouaise, là où présentement on doit enfiler ses patins pour se déplacer à l'extérieur, que je passerai mon Noël 2006 en compagnie de ma belle petite famille. Les dernières heures de cette journée resteront un souvenir impérissable pour moi, et j'ai encore peine à réaliser la signification du grand événement qui s'est déroulée dans la vie d'une personne qui m'est la plus chère au monde.

Bon, j'arrête de vous faire languir, la personne en question est ma mère. Elle porte ses 55 ans avec la fougue et la jeunesse de quelqu'un qui en aurait à peine 40. Et en ce 22 décembre 2006 qui vient de se terminer, elle vient de prouver que le concept de Liberté 55 est bel et bien réel. Elle est officiellement en retraite! Une retraite qui est amplement méritée, après 36 années de loyaux services comme secrétaire médicale à l'hôpital Sainte-Justine.

Nous venons de passer une soirée super agréable en famille, moi, ma soeur, mon père et ma mère. Je suis parti rejoindre ma mère en milieu d'après-midi, non sans avoir pris la peine d'aller chercher une belle rose au fleuriste question de souligner l'événement. J'étais très heureux de voir ma mère aussi radieuse, le grand sourire aux lèvres en remettant sa passe de stationnement au gardien. Comme pour concrétiser la dernière phrase d'un chapitre du livre de sa vie, afin d'en amorcer un autre.

Je me permets donc de prendre cet espace, le temps de quelques lignes, pour témoigner toute l'admiration que je voue à ma mère qui a toujours, et est toujours, une femme dévouée entièrement au bonheur des autres. Elle était la meilleure pour accueillir les enfants malades à son bureau, et encore aujourd'hui des parents lui rappelaient à quel point sa joie de vivre était communicative. Elle peut donc dire fièrement "mission accomplie" et enfin, prendre du temps pour elle et se gâter.

Bravo à toi chère Diane, ma mère que j'adore, et c'est maintenant à ton tour de te gâter!

vendredi 22 décembre 2006

Bières et fromages divin


Depuis deux ans maintenant, mon amie Josée-Anne a l'habitude de faire, tout juste avant que tous et chacun soit dans le buzz des Fêtes, son fameux Bières et Fromages. Chaque convive apporte un type précis de bières ou un fromage selon ce qu'elle assigne à ses invités. J'étais cette année en charge d'amener la Griffon Rousse. J'arrive chez elle à 20h piles, et très rapidement son appart se remplit, les bouteilles sont présentes par centaines, et les odeurs caractéristiques des fromages remplissent les pièces.

Le temps passe tellement vite! Le petit Arthur a tellement changé! En plus d'avoir grandi pour presque doubler de grosseur, il est maintenant en mesure de pouvoir reconnaître la bière! Vous auriez dû voir sa binette quand son père François buvait de la bière dans son biberon, il faisait de grands yeux ronds. Et j'ai eu un deuxième choc quand j'ai vu la belle bedaine ronde d'Hélène, qui est enceinte de 5 mois maintenant. Félicitations à toi et Pascal!

Pour en revenir aux fromages, je ne peux plus compter le nombre que j'ai mangé tellement c'était succulent. Mes combinaisons préférées étaient sans doute la Griffon Rousse avec le Fêtard (un fromage dur assez léger au goût), la Quelque Chose aux Cerises avec le fromage bleu et, croyez le ou non, l'emmental avec de la Labatt Bleue! Chaque fois j'en reviens pas, le goût est excellent, comme si la bière venait de se débarrasser de son arrière-goût qui d'habitude me répugne. C'est ça la magie des Bières et Fromages, les transformations dans les goûts sont beaucoup plus intenses et perceptibles qu'avec le vin. On doit d'abord manger un morceau de fromage, le laisser fondre sur la langue et dans le palais, pour ensuite "rincer" le tout avec une gorgée de houblon soigneusement disposée dans les moindres recoins de la parois buccale. Même 5 secondes après avoir avalé, on a encore toute la saveur du mélange dans la bouche. Un fromage fort se mange ainsi beaucoup plus facilement avec une bière sucrée, alors que les fromages doux ont tout intérêt à être servi avec une bière forte en amertume pour savamment équilibrer les combinaisons amer/sucré.

Le concept est génial, si vous voulez épater la galerie, je vous conseille fortement de faire cela. Moyennant un bon 20$ par convive, on arrive à se faire un festin digne des plus grands restaurants, mais les pilules pour le lendemain de veille ne sont pas comprises... mot-clé: chronique

jeudi 21 décembre 2006

Martin le lutin


Je me suis amusé à me transformer en lutin qui danse pour le temps des Fêtes. Vous pouvez aller voir ma p'tite gigue ICI. Vous pouvez même vous amuser à danser vous-même comme un lutin. L'effet est très comique et ça ne prend que quelques minutes à faire.

mercredi 20 décembre 2006

Le roi Diouf

Dans une vie, il est de mise de faire toutes sortes de rencontres. Certaines sont parfois inoubliables. Du genre qu'elles vous marquent au fer rouge. La rencontre que j'ai eue hier en est le parfait exemple. Hier, j'ai fait la rencontre d'un roi de la percussion, le grand El Hadje Diouf.

Son nom doit sûrement vous dire quelque chose. Les frères Diouf sont débarqués à Montréal voilà une décennie. Lui et son frère Karim se sont liés d'amitié avec un des groupes musicaux le plus populaire des dernières années au Québec, les Colocs. Ces "Québégalais" ont changé à jamais l'essence du groupe, et El Hadje fut celui qui, avec le regretté Dédé Fortin, composa la célèbre chanson Tassez vous de d'là avec son refrain en wolof. El Hadje est sans contredit le maître djembéfola incontesté du Québec. Mais encore plus que cela, il est doté d'une si belle personnalité qu'il est dans une classe à part. Il est voué à une carrière musicale internationale, et cela est très bien parti puisqu'il fait partie du spectacle Délirium du Cirque du Soleil. J'ai eu la chance donc de pouvoir le rencontrer lors de sa pause du temps des Fêtes.

J'ai donc fait 6 heures de percussions hier soir. J'ai assisté Catherine dans le cours des débutants 2, et ce fut le meilleur cours de la session, on a vraiment ri et déconné, et nous avons pratiqués les parties des duns-duns du Kuku et du Rabodae. Imaginez 25 personnes en train de frapper sur des tambours gros comme des poubelles et vous aurez un peu l'idée de la puissance qui peut se dégager de la salle. C'est justement cette puissance qui a attiré Louis et El Hadje puisqu'ils sont venus nous saluer peu avant le début de la rencontre.

21h arrivent, et enfin, la grande soirée débute. El Hadje vient nous faire l'immense honneur de venir nous présenter une pièce musicale qu'il a spécialement écrite pour nous, Samajam, qui en wolof signifie "ma paix". Pendant 3 heures, on vibre au son des djembés, et surtout de la magnifique chanson qui accompagne les tambours, dont voici le refrain.

Man de samajama lay set
Fou amoul jama deouma worna

Grosso modo, ça signifie: "Là où il y a la paix, j'accours. Là où il y en a pas, je fuis."

Il n'y a pas de mots pour décrire avec assez de justesse toute l'intensité du jeu d'El Hadje. Surtout lorsqu'il joue avec son compagnon de toujours, Sheik Anta Diouf, son cousin et nouveau prof de percussions africaines à l'école. Étant jeunes, ils jouaient en duo et cela faisait trois longues années qu'ils n'avaient pas rejoués ensembles. Hier, nous avons eu droit à un moment de pure perfection, de pure virtuosité. Les deux Diouf réussissaient à se parler sans se parler, à jouer ensembles, tellement ensembles que leur jeu ne faisait plus qu'une voix, une musique, un message. J'étais subjugué par la puissance et la beauté de ce moment, par la richesse des sons, par leur expression, par tout ce qui se dégageait de leur personne. Le regard d'El Hadje, lorsqu'il croise le vôtre, impose le respect en même temps qu'une grande, très grande modestie. On se retrouve en Afrique carrément...

Cher El Hadje, merci d'être ce que tu es. J'espère encore pouvoir apprendre en ta présence, ton talent n'a d'égal que ta générosité sans bornes.

J'ai mis en ligne les photos de cette soirée mémorable dans mon album, suivez le lien pour un peu goûter au plaisir que j'ai eu à rencontrer cet incroyable percussionniste.
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mardi 19 décembre 2006

Moment magique percussif

Je reviens tout juste de la soirée magique, incroyable, intense, émouvante, hallucinante avec le roi québécois du djembé, Maître El Hadje Diouf. Eh oui c'est à lui que je faisais allusion. Wow quelle incroyable moment!!! Je vous en parlerai en détails demain, j'ai une très grosse journée qui m'attend et je dois aller dormir, au son du djembé et de la langue wolof...

lundi 18 décembre 2006

Vive les garanties

Depuis un bon mois environ, je me promène avec un cellulaire qui fonctionne pas tellement bien. En fait, le système de microphone est défectueux, car j'entends mes interlocuteurs comme s'ils parlaient au travers d'une vitre et je dois crier presque pour me faire entendre par eux, ou bien patiemment répéter ma phrase quatre ou cinq fois. Pourquoi alors ne pas se grouiller le derrière et aller régler le problème? Je n'en sais rien. Parresse ou manque de temps je suppose. Mais en fin de semaine, tout en magasinant mes cadeaux de Noël, j'en ai eu assez, et j'ai décidé d'aller une bonne fois pour toute régler la situation.

J'arrive donc à la boutique de cellulaires où j'attends en ligne pendant un bon 20 minutes. Hallucinant le nombre de personnes qui s'achètent un cellulaire pour le temps des Fêtes. Finalement, j'expose le problème au technicien, et je dois encore patienter 5 minutes avant que celui-ci ne revienne avec un téléphone flambant neuf!! Et je n'ai rien eu à débourser, la garantie étant encore en vigueur. Sitôt sorti de la jungle téléphonique qu'était la boutique, je téléphone chez moi pour voir si le problème est réglé. Ayoye, j'ai presque dû éloigner le cellulaire à bout de bras tellement la différence était frappante.

Je reviens chez moi en me disant: "Enfin, un problème de réglé!". Mais j'avais tort. Ce nouveau téléphone flambant neuf cachait un autre problème. Cette fois, c'était la réception du signal qui était médiocre. Une barre ou deux gros max, avec la charmante inscription "Pas de signal" en gros caractères s'affichait sur l'écran. Merde!! Non mais des fois j'me demande comment je fais pour être chanceux comme ça...Le lendemain donc, je retourne à la boutique, le tech me reconnaît même, et il affiche une expression de "Mais comment est-ce possible?!?". Pendant que je patiente pour voir ce qui ne vas pas, j'assiste à une très intéressante conversation du technicien en chef discutant avec un vendeur de cellulaires bidon refusant d'accorder un remboursement à une dame qui était absolument écoeurée d'être là.

Finalement, je suis reparti avec un autre cellulaire neuf, qui cette fois-ci fonctionne à première vue à merveille! Jamais deux sans trois comme on dit...Et la morale de cette histoire, toujours bien profiter de la garantie quand elle est en vigueur, ça peut vous éviter de méchants pétrins.
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Pub coup de poing!

Je viens de trouver ce vidéo en me promenant dans la blogosphère québécoise et je salue l'intelligence de ses créateurs. Franchement, la pub aussi bien expliquée, c'est rare, très rare. À savourer!
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Vous avez dit réchauffement de la planète?

À inscrire dans mon almanac personnel. Ce dimanche, 17 décembre 2006, mon père a fait cuire des bons steaks sur le BBQ. Alors oui M. Harper, je peux vous dire que le réchauffement de la planète est bien réel et qu'il faudrait sérieusement donner un coup de barre au protocole de Kyoto!

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dimanche 17 décembre 2006

Jouer dans les partys de bureau

Ce soir, j'inaugurais mon premier corpo avec la troupe de Samajam. Dirigé par Catherine, nous avons mis le party dans la cabane de pas un, mais deux partys de bureau de Noël. Et jouer dans cet environnement est pas mal spécial je dois vous avouer. On assiste à toutes sortes d'expériences qui sont comme des moments inusités qui n'arriveront qu'une seule fois dans l'existence d'une entreprise, et c'est le dernier samedi avant les vacances de Noël.

J'arrive donc à 19h15 au Crystal. Non, ce n'est pas un congrès de danseuses nues, même si le nom sonne exactement comme un bar à la rincez-vous l'oeil. Tout de suite, la dame au vestiaire me prend pour cible et m'invite avec un peu d'insistance (Vite, cachez-vous!) à patienter dans une salle attenante au lobby où il y a toilettes, grand fauteuil et même télévision. Les autres arrivent peu de temps après, Cath, la belle Isabelle toujours impec dans les événements spéciaux, Nanci, Estelle, Vanessa, Françis, Nathalie, Marcel, Bertrand le photographe et finalement Sheik Anta avec Michel Séguin. Cath nous fait un résumé de ce que nous allons jouer et vient enfin le temps de se préparer pour aller mettre le feu dans la place. La responsable est très fébrile, on sent que c'est le moment fort du party puisque personne n'est au courant.

On se positionne en file indienne devant la grande porte, le DJ arrête la musique, on se met à faire un roulement du tonnerre avec les baguettes et les mains sur nos percussions et la grande porte s'ouvre. En pénétrant dans la salle, je ne peux que lever mon chapeau devant toute la créativité et la beauté de la décoration. La thématique du party est Soirée des îles. Il y a des palmiers, des guirlandes en fleurs des Antilles, et même un pont de bois a été installé en guise de tapis rouge. Ça amène donc tellement une belle atmosphère chaude et tropicale! Les gens sont habillés non pas en veston cravate mais bien en chemise hawaïenne, jupe en paille, lunettes soleil. Génial!! On avait juste le goût de rester pour le restant de la soirée, d'autant plus que la majorité des employés étaient jeunes et avaient l'air bien sympathiques. Dès que Cath invitent les gens, ils ne se font pas prier, on sort la barre de limbo et c'est parti pour le party! Sheik Anta ne me finit jamais de me surprendre. Tout en faisant ses solos et en se faisant littéralement mitrailler de flash de caméras, il participe lui aussi au limbo! Génial!!

Notre prestation passe en un clin d'oeil, les gens sont ravis, on aimerait tant rester et fêter avec eux mais nous avons une autre prestation à donner! Nanci, Cath, Isa et moi montons donc à Laval au Palace via la 15. Même pas le temps de respirer un peu que le responsable court à notre rencontre avec son assistante et nous dit qu'il faut entrer en scène maintenant. Wooh minute! On rejoint les autres, on se prépare et avec la moitié du groupe, on emprunte une série de corridors pour pouvoir entrer dans la salle par la porte des cuisines, pendant que l'autre partie de la bande entrera par la grande salle. Le cue est donné, on entre et là je constate que nous sommes aux antipodes de l'autre party. Zéro décoration, moyenne d'âge 50 ans passé, habillés drabe. Mais, le son des tambours étant contagieux, ça n'a même pas pris le temps de deux minutes que le plancher de danse était rempli. Et là je ne peux passer sous silence les scènes cocasses comme celles de l'employé un peu trop bedonnant qui s'amusent à foncer ventre premier dans celui de son collègue trop maigre et à la tête chauve. Ou encore celle de la jeune secrétaire qui se donne à coeur joie en dansant le beledi pendant que le vieux patron essaie de l'imiter. Et le grand classique, celui du p'tit train qui fait le tour de la place, avec encore une fois Sheik Anta qui a un plaisir fou à jouer devant tout ce beau monde.

Si jamais vous penser organiser un party de bureau pour l'an prochain, et que vous voulez que ça lève et que les gens se souviennent de cette soirée, pensez à amener une bande de délurés qui frappent sur des tambours, la réussite est garantie ;-)

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samedi 16 décembre 2006

Le métro ou comment se faire passer un sapin

Il y a de ces matins quand je lis les nouvelles et je sacre devant mon écran ou mon journal tellement je trouve que nos administrateurs sont ridicules. Mais vraiment, ce matin, je suis à deux doigts de frôler la crise de nerfs. Selon cette nouvelle archi choquante, il va quand même falloir payer 103$ par mois pour pouvoir utiliser les stations de métro de Laval !??! Non mais dites-moi que je rêve!! On passe 6 ans à attendre pour enfin avoir un moyen de transports qui a du sens, qui est écologique et qui est rapide, pour se rendre compte qu'aucune instance gouvernementale ne met ses culottes pour le promouvoir aux usagers. Tout ça pour une chicane de villages entre Laval et Montréal!! HONTE À VOUS!! Contactons l'AMT et faisons lui part de notre profond écoeurement de se faire prendre pour des valises!

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vendredi 15 décembre 2006

Le retour de Shrek!

Un de mes films préférés est sans contredit le film Shrek. Bon Dieu que j'avais eu mal au ventre après avoir été voir le deuxième film au cinéma! Donkey et Puss and Boots sont trop drôles! Et aujourd'hui la bande-annonce du troisième film vient d'apparaître sur Internet! Et wow!! Ça l'air vraiment super comique encore une fois! Allez regardez et souriez!! Vous pouvez voir une version de meilleure qualité en cliquant ICI, mais vous devez avoir Quicktime et c'est un téléchargement de 50 Mo.
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Tous les chemins mènent à Rome

Ayoye, je suis complètement vidé. Je viens de revenir chez nous et ça m'a pris deux heures alors que d'habitude ça me prend à peine une heure. Tout ça à cause de la superbe condition de notre métro montréalais. Vous auriez dû voir les bouchons monstres à la station Berri-UQAM vous autres. Ça prenait une patience de moine pour pouvoir se frayer un chemin. Et pour moi, pas question de prendre les mausus de navettes qui fonctionnent tout croche de toute façon. Alors j'ai soudainement allumé sur le fait que le train demeurait probablement la meilleure alternative, fier banlieusard que je suis.

Direction ligne verte, station Guy Concordia, pour ensuite prendre la 535 jusqu'à la station Côte-des-Neiges, pour ensuite débarquer à la station Parc. Sur mon chemin, je rencontre au pied des escaliers mécaniques deux accordéonistes asiatiques en train de jouer Vive le Vent. Non mais plus multiculturel que ça, tu meurs. Unique à Montréal. J'arrive donc à la gare avec 10 minutes d'avance et je me remets à me souvenir du temps de mon cégep où je prenais le train quotidiennement. On a beau chialer sur le fait que les trains sont archi bondés le matin et qu'il n'y en a tout simplement pas assez, j'admets volontiers que ce moyen de transport est vraiment génial. Rapide, confortable, et surtout très pratique dans des situations comme celle-là.

Je débarque à Saint-Martin où j'ai marché avec une fille bien sympa qui m'a gentiment demandé le chemin pour se rendre à une intersection pas loin de chez moi. Elle aussi a pas mal galéré pour retourner chez elle. Mais j'ai constaté que chez tous les gens que j'ai croisés sur mon chemin, personne n'était de mauvaise humeur. Ça doit être le fait qu'on soit vendredi j'imagine.

Ne me demandez pas ce que je fais ce soir, je m'écrase dans mon divan et je vais me coucher tôt, demain ça va me prendre toutes mes énergies pour aller acheter mes cadeaux de Noël. Misère.

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jeudi 14 décembre 2006

Le pouvoir ne tient qu'à un fil

Je viens de lire cette nouvelle assez troublante merci sur le site de CNN. Le sénateur démocrate Tim Johnson, du Dakota du Sud, vient d'être transporté d'urgence à l'hôpital afin d'être opéré pour le cerveau. Il souffrirait d'un ACV. Mais ce bête et déplorable accident pourrait être un cadeau des dieux pour Georges W. Si le sénateur n'est pas en mesure de retourner dans un délai raisonnable au travail, ce sera, selon la loi américaine, le sénateur républicain qui le remplacera. Ce qui veut dire, si vous suivez le raisonnement, que le pouvoir du Sénat, durement acquis par les démocrates, retombera aux mains des républicains. Rocambolesque comme revirement? Et comment! Ça c'est ce qu'on appelle un gouvernement minoritaire!

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mercredi 13 décembre 2006

Sur mon MSN...

Voici quelques commentaires laissés par certaines personnes sur mon MSN.

  • La saison du pètage de coche est commencée!
  • C'est la folie folle de vie follement malade!!! AAAAH!!!
  • Travail en physio PLUS 3 examens à étudier! - J'ai hâte aux Fêtes!
  • Profitez de la vie!!!

On peut donc en déduire que c'est rendu le temps du gros rush de fin de session pour ceux qui sont aux études et que certains ont plus de difficulté que d'autres à compenser avec la situation. Ah ce que ça me rappelle des souvenirs...
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Noël = consommation? Ben voyons donc!

Ah la magie de Noël...Quand vient le temps de déballer ses cadeaux le matin en pyjama. Quand j'étais jeune, c'était LE matin de l'année. Mais pas à ce point quand même si je compare ça au p'tit gars dans ce vidéo...
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Soirées percussives part 2

Ça faisait un petit bout que je ne vous avais pas entretenu de mes dernières soirées à Samajam. Alors je vous fais ici un petit wrap up de tout ce qui s'est déroulé depuis la fameuse prestation au Téléthon. Mardi dernier, c'était déjà notre dernier cours de derbouka avec François. On a eu beaucoup de plaisir malgré que ce fût l'examen de la ceinture jaune. Concept calqué sur le karaté, la ceinture jaune est un défi personnel à Samajam où ceux qui le désirent passent un examen de rythmes. Mais celui de François allait, à notre grande surprise, encore plus loin avec un examen sur comment on joue aussi (position du corps, exactitude des sons, facilité à augmenter la vitesse, etc). Apprendre donc 14 rythmes avec 3 variations par rythmes, et ca fait un grand total de 42 séquences de frappes à maîtriser pour le test. Intense vous dites? Oui, mais c'est plus facile qu'on pense ;-)

Mercredi passé, les petits enfants suivant le cours de Catherine du samedi matin ont présenté le fruit de leur travail devant parents, amis et élèves. Un peur moment de joie, de bonheur, de grande surprise aussi. Voir toute la pureté, l'innocence, la beauté pure quand une bande de « p'tits bouttes » ont vraiment un plaisir senti à jouer de la percussion, c'est vraiment le carburant de ta semaine. Et wow, il y en a qui sont renversants tellement ils ont le beat dans le sang. Chapeau à la belle Catherine d'avoir su leur inculquer cette passion!

Lundi, je suis allé assister le cours de Catherine pour les débutants 2. Malheureusement, c'était un cours de révision de la ceinture jaune africaine, que j'aborde déjà fièrement sur mon djembé qui est jaune lui aussi. Bah, c'est pas grave, l'important, c'est de pouvoir jouer et de s'éclater! Il y avait justement une énergie spéciale ce soir là, comme si pour une fois on sentait que les gens étaient connectés à leur émotion dominante de leur journée au lieu de rester dans le mental, chose qui arrive à tout coup lors de l'apprentissage d'un nouveau rythme. Je vous en parlerai plus en détails dans un prochain post d'ailleurs. Mais la vibe du groupe était très intéressante et on a eu beaucoup de plaisir. J'ai conclu ma soirée au Dieu du Ciel avec M-C et M-J. Très bonne compagnie, on a beaucoup ri et quoi de mieux que de terminer sa soirée autour d'une bonne bière!

Finalement, ce soir, c'était la première séance du cours de cajòn. C'est une caisse en bois où des cordes de guitare sont accolées au fond de celle-ci. On s'assoit dessus et on frappe sur la paroi en avant. Ça remplace avantageusement le drum, car on peut faire autant le kick que le snare. Trop génial comme instrument. Et vu que mon père est un pro manuel en ébénisterie, je songe sérieusement à lui demander de m'en construire un (eh oui p'pa, je sais que tu viens me lire souvent, alors je t'annonce ça en primeur ;-)). Et je vais me coucher moins niaiseux ce soir, j'ai appris que cet instrument est originaire du Pérou. J'étais certain que ça venait d'Espagne, mais non, ce sont les espagnols qui ont popularisé l'instrument. C'est la même chose que les nouilles, qui ne sont pas d'origine italienne mais bien chinoise, mais là je sens que je m'éloigne du sujet. Nous avons donc appris deux super rythmes péruviens, le lando et le festejo. Deux beats en 6/4, on est loin du raboday (inside pour les samajamiens qui me lisent).

Bon, demain, je vais peut-être aller faire un tour au cours des débutants, on verra. J'ai surtout très hâte à lundi prochain, car un grand maître de la percussion viendra faire son tour. Je vous en parlerai prochainement?En attendant, voici un indice pour vous tenir en haleine.

Balma balma sama wadji khadjalama yonwi

Djeguelma djeguelma sama wadji khadjalama yonwi

Sama wadji khadjalama yonwi

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dimanche 10 décembre 2006

Apprenti drebki

Depuis deux semaines maintenant, j'ai fait l'acquisition d'un nouvel instrument! Une darbouka (au fait, ça s'écrit au masculin ou au féminin? Hmm...)!! Je l'ai déniché dans une petite boutique arabe coin Saint-Denis et Castelnau (merci Nicolas pour avoir fait enquête là-bas) et ils ont des darbouka de première qualité à un prix vraiment bon (je l'ai eu à 60$ taxes comprises, étui, clé et peau de rechange inclus aussi). Non mais quel instrument fantastique! J'adore en jouer et c'est rendu qu'il ne se passe plus une journée sans que je joue des beats là-dessus. Une découverte sensationnelle depuis que j'ai pris des cours. C'est grisant de pouvoir jouer d'un instrument et sentir qu'en aussi peu de temps on s'améliore autant. J'ai hâte de pouvoir faire une prestation avec des instruments méditerrannéen, c'est vraiment différent de l'africain et c'est tout en douceur et en finesse au lieu de la puissance du djembé. Qui sait, ça pourrait arriver plus vite qu'on pense ;-)
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vendredi 8 décembre 2006

Transition

J'ai aucunement vu passer le train. Vraiment, cette semaine, j'ai eu pas mal de misère à me motiver. Peut-être est-ce que c'est l'arrivée de la neige, du froid, ou de décembre...Décembre!! Noël!!! Les partys de famille! Bye bye 2006!! AAAHHHH!! On peut tu peser sur la pédale de frein SVP? Voilà pas si longtemps je prenais encore une bière au soleil sur une terrasse, sans manteau, et on jammait dehors avec la gang de Samajam au gros soleil...

La transition est assez brutale je dois dire. Passer en mode hivernal. Accepter le fait que le matin, on doit aller pelletter l'entrée pour partir. Partir 5 minutes plus tôt car marcher dans la neige, c'est forçant et ça nous ralentit (surtout que la plupart du temps, j'ai un djembé ou un darbouka à transporter). Accepter le fait et ne pas pester contre les chauffeurs d'autobus qui font leur gros possible pour arriver à l'heure, chose qui est de moins en moins le cas à chaque début d'hiver. Je redoute encore le jour où le métro va tomber en panne et qu'on va devoir geler tout rond sur un coin de trottoir...Misère...

Pardonnez mon attitude un peu pessimiste, mais à l'approche des Fêtes je suis toujours comme ça. Je ressens une espèce de ressentiment quant à l'arrivée de la nouvelle année. Comme si je voudrais figer le temps entre l'été et l'automne. Mais bon, ça commence déjà en fin de semaine les partys de Noël en famille. Un peu tôt vous dites? Et bien 21e siècle oblige, le seul week-end où tout le monde est disponible adonne à celui-là. Mais il ne reste quand même que 2 semaines et demi avant Noël, il faut bien se mettre dans l'ambiance des Fêtes un jour où l'autre!

Vive le vent, vive le vent, vive le vent, d'hiver...!!
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mardi 5 décembre 2006

Musique africaine sauce électro!

J'avais planifié vous raconter ça hier, mais bon, je suis présentement en révision intensive de mes rythmes de darbouka, alors j'ai pas trop eu le temps de vous parler de la suite de ma super soirée de dimanche, qu'on pourrait appeler "post téléthon" hehe (voir le précédent billet si vous voulez savoir à quoi je fais allusion).

Donc on ressort à l'extérieur où il neige des gros flocons et très fort. Ça fait longtemps qu'on a pas revu la neige, ça fait du bien! Mon comparse J-F et moi descendons Christophe-Colomb pour se diriger vers le Divan Orange, pour voir le trio Africana Soul Sisters en prestation. Ça fait deux semaines que j'attends de voir ce show-là, j'ai vraiment hâte!

Hâte parce que je vais revoir ma prof de percussions adorée, Mélissa Lavergne, jouer avec ses instruments avec toute la fougue et la passion qui la caractérise. Nous arrivons donc au bar peu avant 8hres, et déjà un petit groupe de "Samajameux" se sont déjà attroupés. L'endroit est quasi désert, les gens sont frileux de sortir pour aller sentir la fraîcheur des flocons de neige. J'en profite donc pour aller voir Mélissa et Jean-François Lemieux, le bassiste du groupe et fier membre de la Ligue d'Impro Musicale. Et comme toujours, Mélissa est toute souriante et très heureuse de savoir qu'une gang de percussionnistes en herbe viennent l'entendre et l'encourager.

En attendant l'heure du show, je les laisse faire leur test de son, et je rejoins la gang sans cesse grandissante de Samajam autour d'une bonne stout froide. On jase naturellement de la prestation qu'on vient de livrer. Super ambiance. Je m'attable ensuite à une table proche de la scène juste en face du setup de Mélissa et enfin, les lumières s'éteignent, les musiciens s'installent et le show débute.

Wow, quelle musique explosive! Franchement, ce projet là ne peut aller que loin, très loin même. C'est ultra original. Et expérimental à l'os. Mais on ne peut qu'embarquer. JF Lemieux s'occupe de bien asseoir le beat avec ses loop préenregistrés au laptop, avec un riff de basse bien gras ajouté par dessus. Ajoutons à ce mélange une savante dose de brass, de flûtes et de clarinettes, dose concoctée avec grâce par Marie-Josée Frigon (la saxophoniste de Belle et Bum si vous voulez savoir de qui je parle). Et bien entendu, la cerise sur le sundae, la neige sur le Mont Everest, les mélanges de percussions de Mélissa Lavergne. Djembé, congas, bongos, darbouka, rik, duff, shakers, triangle...

Woah!! Le fameux triangle!!! Tout le monde pense que cet instrument-là est le plus insignifiant de tous les instruments (à part peut-être la cuillère et la guimbarde), mais s'il y a une toune qui a complètement levé et a fait frémir la foule pendant le show, c'est Afro Clown où il y a une passe de triangle absolument incroyable. Pourquoi faire compliqué quand on peut faire ça simple? Prenez un triangle et voilà, vous avez la foule à vos pieds! Quoique avec Mélissa aidé par ses deux amis musiciens, je doute que le triangle y soit pour quelque chose...Enfin...

Cette soirée de musique électro mêlée à de l'africain, brésilien, méditerranéen, cubain, alouette... s'est terminée vers 1h30 du matin. Malgré que le Divan n'était pas vraiment rempli, on a eu tellement de fun à danser comme des malades, et ça n'a que plus fouetté les musiciens à performer. Ils ont adoré ça et on a adoré ça. C'est ça la magie des shows.

La prochaine fois, courrez voir ça, ça vaut trop la peine. Les shows reprennent à la mi-janvier, pour les intéressés!
mot-clé: arts

lundi 4 décembre 2006

Jouer pour une bonne cause

Ouf! Quelle fin de semaine! Ou plutôt quel dimanche! Encore une fois, très riche en musique et en émotions. Mon cadran sonne à 9h30 et j'ai peine à me réveiller, ayant été souper chez Gene hier et comme à l'habitude, la bouffe est délicieuse et le vin coule à flot. Mais, bon, vu la super journée qui m'attend, ça ne me prend pas trop de temps pour me lever et aller me préparer pour aller à la répète au local de Samajam, car ce soir nous performons au téléthon des maladies infantiles, et nous clôturons l'événement par-dessus le marché!

J'arrive au local avec une bonne demi-heure de retard, mais je constate que la pratique a elle aussi débuté avec du retard, donc je ne suis pas stressé du tout. Tout le monde est de bonne humeur, et fidèle à ses habitudes, Louis débute la journée en force en mettant des tounes dance des années 90 juste pour niaiser et se réveiller. Donc, notre pratique débute par une gang de fêlés qui crient et qui dansent pendant une bonne dizaine de minutes. Intense et garanti qu'après ça vous êtes d'attaque pour la journée!

La pratique se déroule super bien. On monte un numéro de quatre minutes, où les pros de l'école s'exécutent avec un kassa bien senti que Sheik Anta lead avec une facilité déconcertante. Par la suite, un numéro superbe de baguettes et tambour dirigé cette fois-ci par le grand Michel Séguin. Il est hallucinant ce gars-là pour trouver des effets sonores et visuels, c'est renversant. 12 joueurs jumelé deux par deux se font face à face, tapent avec leur baguette sur le djembé de leur partenaire, et frappent en l'air avec leur baguette. L'effet visuel est renversant et les sons ajoutent quelque chose d'explosif. Finalement, une trentaine de joueurs s'ajoutent au tableau, jouant un rabodae intense. Et aujourd'hui, ne me sentant pas trop d'attaque pour avoir une partie compliquée à jouer, je suis le leader des joueurs débutants, et j'ai quand même une bonne facilité à leur donner leur cue au bon moment. Pas facile de s'assurer que les pas soient harmonisés à la musique!

Après un bon 4 heures de pratique, vient le temps de tous se diriger au Centre Claude Robillard. Nous arrivons donc sur le plateau avec une bonne heure d'avance, et nous sommes dirigés vers l'arrière de la scène, là où nous attendent biscuits, cafés et breuvage. Le gros service. Je sens peu à peu la fébrilité du moment fatidique qui se rapproche. 18h25, plus que 20 minutes avant d'apparaître devant plusieurs milliers de salon. Louis convoque un caucus, et nous annonce que la performance de ce soir est importante, car un des enfants en vedette au téléthon est malheureusement décédé la veille. Wow, quel coup ça nous donne! En même temps que de ressentir une grande tristesse, c'est un véritable coup de fouet pour livrer la marchandise.

18h40, je prends mon djembé et nous filons tous derrière la grande scène pour se placer. 18h45, plus que deux minutes avant d'aller en ondes. 18h50, les panneaux s'écartent, et c'est à nous!!! Le numéro se déroule parfaitement bien, mais comme d'habitude on a l'impression que ça prend 4 secondes au lieu des 4 minutes habituelles. On est tous vraiment contents par contre, l'émotion et l'énergie était à son top! Un autre moment unique dans ma vie de jeune percussionniste!

mot-clé : chronique

vendredi 1 décembre 2006

Temps de bouette

Il y a des journées comme ça où on voudrait pouvoir faire skip, comme sur la télécommande de la télévision quand la scène qu'on voit est trop ennuyeuse. C'est exactement ce que je me suis dit ce matin en ouvrant mes rideaux et en voyant le temps qu'il fait dehors. "Ouais, la journée sera longue!". À chaque fois que la première vraie tempête au Québec arrive, on dirait que Montréal fait toujours bande à part. Pendant que Québec recevra un nouveau tapis de neige tout blanc, à Montréal on va recevoir une belle couche de glace et de pluie. Est-ce que je me plains? Certain que oui! C'est l'hiver, je veux voir de la neige et non pas de la glace et de l'eau qui rend mon itinéraire aussi périlleux que celui d'un soldat traversant un champ de mines!!

En plus de la météo qui fait des siennes, en arrivant à la job ce matin, impossible de pouvoir consulter mes courriels! Le "/$%?*! de serveur fonctionne comme si on serait aux balbutiements de l'Internet! Un beau message d'erreur de 5 chiffres apparaît sans explication, me laissant songeur quant à la raison qui m'a poussé à me sortir du lit ce matin...

MAIS, Allléluia, c'est vendredi!!! ;-)

mot-clé: chronique
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